On pourrait penser qu’être leader est un travail solitaire puisqu’au final on ne voit qu’une personne représenter une vision. On oublie souvent que le but ultime d’une communauté durable est d’être largement autosuffisante en créant plusieurs ambassadeurs(leaders) pour mieux disséminer la vision.
Cette communauté est un endroit où les membres qui la composent s'engagent les uns avec les autres, ont une mission et une passion, organisent des réunions de planifications et désignent des acteurs pour superviser et mettre en œuvre les changements.
Imaginez la reine des abeilles et son armée, mais avec des objectifs plus orientés vers : la construction d'une bibliothèque, l'organisation d'une conférence sur la littérature, l'obtention de fonds supplémentaires pour les services sociaux et publics. Chacun à un objectif et répond de celui-ci.
Vous voyez, cela nécessite quelques membres qui sont prêts à consacrer leur temps et leur expertise à la croissance de la communauté. Comme personne ne peut tout savoir, chacun d'entre eux s'attaque à un défi ciblé, dans son champ d’expertise ou d’intérêts. Tout cela au nom de l’utilitarisme, soit pour le plus grand bien du plus grand nombre : ici, une communauté durable et pérenne.
Celle-ci peut être décrite comme une communauté où ses membres peuvent grandir, s'éduquer, se guérir, s'encourager et se soutenir les uns les autres, tout en respectant leur propre singularité.
J'en ai rencontré beaucoup de ses membres et leur travail a fait, à mon humble avis, plusieurs différences dans cette communauté. Découvrez-les dans cet ode à l'action sociale et citoyenne.
Ama Ouattara
Marie-Emmanuelle Kouadio, ambassadrice de SEPHIS Canada, une association basée à Abidjan, Côte d’Ivoire et dont le but est de promouvoir le genre, le leadership féminin et l’entrepreneuriat. Mme Kouadio, qui a eu l'idée de créer l’ambassade de SEPHIS au Canada, y voyait un moyen d'accroître la réputation de l’association, et ainsi continuer son combat à l’échelle mondiale, tout en gardant une connexion avec son pays natal qu’est la Côte d’Ivoire. Sur le territoire canadien, l’association se concentre essentiellement sur les étudiants internationaux africains et organise des évènements tels que des panels et des webinaires au cours desquels ils peuvent en apprendre plus sur le monde professionnel, mais aussi avoir les outils pour surmonter les défis qu’ils pourraient rencontrer.
Kiosque de ventes au Salon du livre afro-canadien
Yaovi Hoyi, bien connu sous le nom de Yao, est un musicien franco-ontarien de renom. Au côté de Mathieu Fleury, conseiller municipal du quartier Rideau-Vanier à Ottawa.
Pleins feux sur les tables de réseautage au Salon du livre afro-canadien
